Lyui Sydenel

*[Identité Générale]*

¤ Nom ¤
Sydenel.

¤ Prénom ¤
Lyui. Elle possède aussi comme surnom Lyu.

¤ Sexe ¤
Féminin.

¤ Age ¤
Âge inconnu. Elle a l'apparence d'une fille de dix sept ans.

¤ Race ¤
Agibaïs.

¤Clan / Guildes ¤
Shirokuro.


*[Informations Supplémentaires]*

¤ Tendance Sexuelles ¤
Bisexuelle.

¤ Relations /Connaissances ¤
Meilleure amie de Ryb (Rybéïl Lueinr) depuis leur plus tendre enfance, elles ont passé la quasi totalité de leur temps ensemble, inséparables gamines que l'ont voyait courir à tous les coins de rue.

¤ Camps Politique ¤
Luvios.

¤ Métier/Statut ¤
Lyui est une simple citoyenne appréciée autour d'elle. Elle exerce le métier d'écuyère.

¤ Pouvoir Personnel ¤
La jeune fille a la capacité de se transformer loup immaculé.

¤ Pouvoirs Raciaux ¤
Maîtrise de l'Invocation ( Création de Zombies )***
- Soigner quelqu'un ( lui enlever sa mort ) **

¤ Pouvoir Secondaire ¤
La jeune fille est (/sera) capable de maîtriser la terre pour venir completer son pouvoir personnel. Elle peux (/pourra) en effet faire pousser des barrières de troncs et de lianes entremêlés pour se protéger ou, au contraire, pour mieux "s'occuper" d'un de ses ennemis.

¤ Inventaire ¤
Lyui porte dans le dos un katana à la lame blanche et au manche noir. Sa garde, également noire, a la forme d'une goutte d'eau. Elle a reçu ce katana dès sa naissance mais elle promit à ses parents de ne pas le toucher avant l'âge de 14 ans. Cependant ils ne purent jamais voir les progrès rapides qu'elle fit en matière de combat.
Elle possède aussi caché dans une de ses bottes une dague d'une dizaine de centimètres.

*[ Personnage]*

¤ Description physique ¤
La plus grande particularité de Lyui est visible de loin. Après avoir reconnu en elle une Agibaïe, la personne qui l'observe pourrait se demander si elle ne se trompe pas de race. En effet, Lyui ne mesure qu'un mètre quatre-vingt pour soixante-et-un kilos, ce qui est quelque peu embarassant lorsque certains doutent de son identité.
Vêtue d'un très large pantalon de couleur bordeau pour ne pas être gênée dans ses mouvements, elle porte, par-dessus, une ceinture de toile virevoletante retenue par des anneaux dorés. Son haut n'est en fait composé que de bandes de tissu blanc serrées sur son ventre et sa poitrine assez conséquente, laissant juste découvrir son nombril. Ses manches indépendantes de tout le reste sont composées du même tissu rouge que son pantalon et enveloppées à leur tour dans des bandes de tissu blanc. Sa garde-robe est complétée par une paire de gants assez originaux, montants sur tout l'avant bras et serrés aux poignets. Toute cette tenue permet de protéger un minimum les endroits stratégiques au combat : jambes, poignets et ventre. Sa poitrine reste cependant assez à découvert malgré tout.
Son visage est la plupart du temps souriant et ses yeux bleus assez rieurs. Lorsqu'elle est énervée, en revanche, ses yeux azur lancent des éclairs quasi visibles à la malheureuse cible de cette colère.

¤ Description Psychologique ¤
De nature assez extravertie, Lyui se fait des amis assez facilement, même dans les moments où elle n'en désire pas. Elle est parfois lunatique et peut passer d'une envie soudaine de parler à quelqu'un à un désir ardent de le tuer pour enfin pouvoir avoir la paix.
Elle assume assez bien ses tendances bisexuelles et n'a jamais eu de mal à se faire respecter dans son cercle de connaissance, les adultes disaient d'elle qu'elle feraient une très bonne combattante. Déterminée, prompte, rapide, agile, intelligente et quelquefois sadique, elle devenait souvent dirigeante dans les groupes d'enfants qui se formaient à l'époque. Elle est aussi de nature curieuse, peu pudique et, avouons-le, assez perverse. Cependant, de par son côté lunatique, elle a aussi ses moments solitaires et mélancoliques ou l'hyperactive qu'elle est d'habitude fait place à une Lyui calme, posée et triste. Dans son état normal, elle vit le moment présent et n'hésite pas à foncer pour établir un certain ordre immédiatement. Cependant, ça ne l'empêche pas de réfléchir et d'analyser tous les éléments d'une situation pour tenter de trouver la méthode la plus efficace et rapide d'effectuer son but. Boute-en-train, manipulatrice et souvent sarcastique, Lyui peut aussi se montrer adorable avec les personnes qu'elle affectionne vraiment.
Le sort des personnes qu'elle rencontre dépend de son humeur et de son envie de jouer. Elle pourra tout à fait se montrer parfaitement gentille avec un inconnu et brusquement méfiante envers une personne qu'elle aura déjà vue une ou deux fois.

¤ Histoire ¤
A la fenêtre de la cinquième maison qui restait éclairée malgré l'heure tardive, un petit visage au nez en trompette observait l'agitation de la rue. Malgré qu'il soit onze heures et demies du soir, des passants faisaient encore des allers-retours le long de la rue pour tenter de vendre leur quincaillerie à la sauvette à quelconques amoureux qui passaient furtivement pour trouver un coin tranquille.
La jeune fille avait l'habitude de cette agitation. Elle aimait bien l'observer pendant des heures derrière les rideaux de toile en se disant qu'elle seule savait que les moindres gestes de tous ces gens étaient épiés. Vols, enlèvements, bagarre... Elle assistait à tout et voyait tout autour d'elle, en se disant souvent que quand elle serait plus grande, elle se battrait contre tous ces "vilains". Derrière elle, dans la pièce d'à-côté et malgré la porte fermée, elle entendait ses parents. Ils criaient, comme à leur habitude. Elle aimait bien les entendre se disputer, parce que comme ça elle les entendait parler. La vie à la maison d'habitude était plus régie par le silence de ses deux parents qui se lançaient des éclairs, et de leur fille attristée dont le regard allait de l'un à l'autre en espérant un petit mot gentil. Ils ne s'entendaient plus depuis sa naissance, sa mère reprochait à son père d'être toujours dans les affaires des autres et disait que ça finirait par rapporter des problèmes à leur famille. La jeune fille, qui devait avoir une demi-douzaine d'années, était minuscule pour son âge : un mètre vingt-deux. Ses cheveux noirs n'étaient guère différents de ceux des autres Agibaïs mais son visage faisait toute la différence. Des yeux bleus en demi-lune, un petit nez légèrement retroussé, des joues rosies et des petites lèvres rouges toujours souriante. Elle attirait la sympathie des adultes lorsqu'elle jouait dehors, et bien des enfants de son âge, trop occupés à être intrigués par son visage, oubliaient de remarquer sa petite taille. Ce visage enfantin et pourtant déjà déterminé était collé au carreau pour étudier la rue. Elle s'intéressa à de petites lueurs au bout de l'avenue qui ressemblaient à des torches qui se rapprochaient de plus en plus, des points oranges dansant devant ses yeux azur. Dehors, les passants commençaient à s'agiter. On voyait émerger des fenêtres assombries des visages ensommeillés et effrayés qui fermaient les volets rapidement.
La petite fille pencha la tête et tenta de voir un peu plus loin. Désormais l'agitation croissante dans la rue était à son paroxysme. Tonneaux et seaux renversés, habitants trébuchant dessus, feuilles d'automne volant en tout sens et aveuglant les pauvres effrayés semblables des fourmis dont on aurait marché sur la fourmilière.

-TYBIALES ! TYBIALES ! TYBIALES !

Une jeune femme avait crié plus fort que les autres trois fois le même mot. La petite se demandait ce que ça pouvait bien vouloir dire, "tybiales"... Elle eut cependant l'effarement de constater que la femme qui avait crié ça venait de se faire pousser sur le côté comme si personne ne l'avait vue. Tout le monde était au courant de ce qu'il se passait, il n'y avait pas besoin d'un oiseau piailleur pour envenimer la situation.

-LYUI !

Dans un sursaut, la jeune fille concernée quitta la rue des yeux et se retourna. Sa mère la prit précipitamment dans ses bras. Elle aimait quand elle la prenait dans ses bras, d'habitude, car c'était quelque chose de doux et d'agréable. Mais maintenant c'était tout autre chose, elle lui avait fait mal en la soulevant si brusquement. Elle semblait paniquée. Son beau visage aux yeux noisette semblait effrayé et Lyui n'eut pas le temps de lui demander ce qui la tracassait à ce point.

-Alrina ! A l'étage, dans notre chambre !

La jeune femme monta les escaliers quatre à quatre en serrant sa fille contre sa poitrine et sa tunique rouge.

-Maman, dehors il y a une dame qui...

-Chut ma chérie ! Il ne faut pas faire de bruit, en aucun cas il ne faut crier ou même parler, d'accord ?

La petite fille fut étonnée de cet ordre mais obéit quand même avec un signe de tête. Sa mère entra dans la chambre conjugale et ouvrit précipitamment la porte de la penderie qui se trouvait dans un coin. C'était une gigantesque armoire ancienne taillée directement dans du chêne, assez grande pour y cacher quatre personnes de taille normale, mais pas quatre Agibaïs. Elle embrassa sa fille sur sa petite joue rose et lui caressa les cheveux avec un petit sourire dénué de joie puis referma la porte. Cependant, juste après son départ, un claquement se fit entendre : la porte avait été mal fermée et s'était entrouverte, un rai de lumière éclairant le visage de Lyui. Elle se demanda ce qu'elle pouvait faire, cachée parmi tous ces vêtements, et surtout ce qui se passait... Sa mère lui avait bien dit de rester là mais...
Un grand craquement suivit d'un gros "boum" se fit entendre au rez-de-chaussée, faisant trembler tout le premier étage. Lyui aussi tremblait, mais ça n'avait rien à voir avec les vibrations venues d'en bas. Elle entendait des cris en bas... Poussant discrètement la porte avec un petit grincement quasi-inaudible, elle se faufila à l'extérieur et ouvrit le tiroir de la petite commode vieillie pour y trouver un petit couteau émoussé, abimé par les ans. La petite avait vu une fois son père l'y ranger pour une raison qu'elle ignorait. Il avait, à l'époque, accompagné ce geste d'un "au cas où" que Lyui ne comprenait toujours pas.
Elle sortit de la chambre de ses parents avec tout le silence que lui offraient ses petits pieds et s'approcha de l'escalier. Elle passa la tête lentement sur le côté pour voir ce qui se passait au rez-de-chaussée et faillit laisser échapper un cri de stupéfaction. Le gros bruit qui avait fait tremblé toute la maison correspondait en fait à la chute de la porte d'entrée et une dizaine de bêtes étranges inconnues de la petite fille avaient fait irruption dans la pièce. C'étaient des animaux effrayants, certains avaient des jambes et un buste incliné de félin avec une tête tout à fait humaine, d'autres avaient tout un corps humain et une tête ressemblant à celle d'un puma, d'autres encore avaient quasiment tout le corps transformé en félin, avec juste quelques détails humains restant, ce qui formait un étrange mélange entre races. A part ces animaux, Lyui ne voyait personne d'autre dans la pièce. Ah, si... Son père était recroquevillé par terre dans un coin de la pièce et elle entendait les cris de détresse de sa mère quelque part ailleurs dans la maison. Dehors, d'autres "félins" s'amusaient à mettre le feu à certaines maisons et à observer les gens crier et se débattre dans les flammes. Les yeux de Lyui, completement affolée par tout cette agitation et cette violence, allaient de la silhouette sanguinolante de son père à terre à celle de la porte d'où venait la voix de sa mère puis revenaient sur les bêtes félines.

-Alors, Elwin, tu vas nous dire où tu l'as cachée ?

-N... non !

Un coup de pied fusa dans le ventre d'Elwin. Il venait d'un hybride particulièrement grand et élancé qui avait des jambes humaines mais un torse et une tête de félin. Il portait un pantalon gris quelque peu déchiré et avait à la main deux dagues refletant la lumière des incendies exterieurs dans la nuit.

-Et pourquoi donc ? Tu sais que nous avons l'ordre de nous occuper de toute ta petite famille ? Arney est déjà en train de s'occuper de ta petite femme. Il m'a dit qu'il la trouvait mignonne, moi je la trouve repoussante. Arney et toi avez des goûts douteux.

Il jeta un regard circulaire autour de lui. Les autres félins restaient immobiles et observaient la scène. La pièce avait été saccagée, la grosse table en chêne qui trônait habituellement au milieu du salon avait été renversée et ses pieds cassés, les chaises devaient sûrement être en train d'alimenter le feu qui crépitait au-dehors, les quelques jouets que possédait Lyui gisaient sur le sol du salon. Un des étranges animaux était en train d'observer sa poupée préférée, celle que sa mère lui avait offerte à sa naissance. Il l'approcha de son visage et donna une pichenette dans la tête du pauvre jouet inanimé. Sous la puissance du coup, la tête se détacha et alla rouler sur le sol, juste à côté de celui qui menaçait Elwin. Celui-ci regarda la tête aux couettes blondes et sourit d'un air mauvais avant de reporter son attention sur Elwin.

-Que c'est mignon... Bon, où est-elle cachée ? DIS-LE !

Un nouveau coup de pied fusa. Un nouveau cri d'Alrina aussi, puis plus rien. Ce fut comme si le temps s'était arrêté, plus aucun bruit n'atteignait les oreilles de Lyui. Les crépitements s'étaient arrêtés, les cris s'étaient tus, les félins étaient muets. La jeune fille sortit de sa cachette et dévala les escaliers sous le regard étonné de la bande de félin et sous le sourire narquois de leur chef. Lyui tendait son petit couteau comme si ça eût pu effrayer quelqu'un. Mais elle n'en avait pas conscience.

-Lyui...

-Lâchez-le ! Bande de vilains, vous faites du mal à mon papa ! Où est ma maman ?

Le sourire du chef de groupe ne s'effaca pas lorsque il s'approcha de la jeune fille. Deux autres à tête de panthère se chargèrent de surveiller Elwin.

-Non J-jolnir, laisse-la...

La voix d'Elwin était faible mais assez forte pour être audible de tous. Le dénommé Jolnir attrapa brusquement Lyui par les cheveux pour la mettre devant lui et passer son couteau sur la petite gorge de la jeune fille qui, de surprise, avait lâché son ridicule couteau.

-C'est ça que tu ne veux pas que je touche ? Mais pourquoi donc, Elwin ? Tu as peur que je lui fasse... du mal ?

Le couteau appuya quelque peu sur la gorge de Lyui qui eut un sursaut. Quelques gouttes perlaient sur sa robe bleue.

-N-non... C'est moi qu-que tu veux tuer, p-pas elles ! Elles n'ont r-rien fait !

-Oh mais, je vois que tu as mit tout ça au pluriel. Si tu veux être rassuré, ta femme a déjà fini de souffrir. Je connais Arney, il ne s'amuse pas très longtemps en général avec les femmes...

Le dénommé Arney entra dans la pièce en s'essuyant la bouche d'un revers de main. Il alla rejoindre ses pairs. Lyui avait peur. Elle ne savait plus que faire, désemparée. Est-ce que ce que venait de dire Jolnir signifiait que sa mère était... non ! C'était impossible...
Quelques larmes se mirent à rouler sur ses joues en silence, personne ne remarqua rien dans la tension de la situation. Soudain, un homme entra précipitamment dans la pièce, s'appuyant à l'encadrure de la porte. Il avait l'air d'être bien amoché, lui aussi.

-Elwin ils sont là.... oh...

Le sourire sur le visage de Jolnir s'élargit un peu plus.

-C'est de nous que tu parles ? Oh... Comme c'est gentil de nous accueillir si ouvertement ! Pas comme la dernière fois !

Il lâcha Lyui et s'approcha du nouveau venu. La jeune fille avait déjà reconnu le visage de cet homme : c'était le père de Ryb, sa meilleure amie. Alors que Jolnir l'avait lâchée, elle se faufila discrètement à l'étage puisque tous les regards étaient tournés vers la porte. Elle jeta un dernier regard à la silhouette de son père et monta rapidement les marches à quatre pattes. Une fois en haut, elle se rendit rapidement dans la chambre de ses parents et utilisa une porte cachée par un rideau. Celle-ci menait en fait à la cave sans que personne, sauf eux trois, ne le sache. Une fois à la cave, elle ressortit en dehors de la maison en faisant attention à ne pas se fair repérer. Les rues étaient à présent désertes, tous les félins étaient rentrés dans sa maison et les survivants avaient été se cacher. Elle courut jusqu'à la maison qui se trouvait à l'extrème bout de la rue. Toutes les résidences avaient été incendiées, ou presque. De certaines il ne restait rien, et de certaines autres il restait les fondations. Peu d'entre elles étaient restées intactes. Elle entra dans la petite maison qui n'avait subi que peu de dommages exterieurs et se rendit compte qu'en fait, comme toutes les autres, l'intérieur avait été saccagé. Elle chercha des yeux quelqu'un mais la pièce était déserte.

-Gn...

Un bruit retentit à l'étage. Elle courut jusqu'à la chambre conjugale de la maison et aperçut enfin une petite silhouette s'extirper du lit. Elle se jetèrent dans les bras l'une de l'autre.

-Ils sont...

-Oui...

Épilogue

Quelques jours plus tard, le village était calme, la reconstruction avait commencé, dans le silence. Un nouveau cimetière avait été érigé. Et personne ne faisait attention à Ryb et Lyui. Elles se rendirent dans l'ancienne maison de Lyui qui observa les lieux le coeur serré. En sortant, elle n'emporta avec elle que deux choses : une poupée à la tete tranchée et un katana noir et blanc.

( Juste une p'tite centaine de ligne en trop =3 x) )

¤ Ikigai ¤
Retrouver l'assassin des parents de Ryb et de ses propres parents.

¤ Kyoufu ¤
La plus grande peur de Lyui est de ne jamais réussir ou avoir le temps d'accomplir son but. Elle est aussi clostrophobe et ne supporte pas de se faire enfermer dans une petite pièce ou de se faire attacher.

*[Hors Rp]*

¤ Quelques infos sur moi ¤
Mon surnom c'est Paloma (Palo ^^), y'ai 17 ans, j'aime les mangas, les dadas, lire, écrire, dessiner, les rp... et euh... Bah vous pouvez me mp pour discuter un peu sinon ^^'

¤ Comment avez vous découvert le forum ? ¤
Merchi Ryb =3

¤ Avis sur la composition générale du forum ¤
Forum très abouti, histoire bien pensée, un peu contraignant au niveau des physiques imposés et un peu compliqué à comprendre pour mon petit cerveau, tout ça ^^ Mais forum très réussi quand même ^^

¤ Message à faire passer aux admins ¤
L'admin est un céréal killeur =O xD
(L'admin TUE !)